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Heraclitus’ river mirrors a petrified sky. It is time that hovered over the surface of the waters and now night falls on the remains of Babylon, dry soil under the blood of unnamed kings.
Cloud and stone have spoken—heaven and earth have passed away. The apocalypse sky above every man and his descendance.
« Lorsqu’on aperçoit la fin dans le commencement, on va plus vite que le temps. L’illumination, déception foudroyante, dispense une certitude qui transforme le détrompé en délivré. » (Emil Cioran, De l'inconvénient d'être né)
An abortion of transcendence through the centuries in the pure nothingness of every single breath. Day turns into night at the ruins of Babylon and I, dying, endure.
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2. |
Sophia ton Nekron
11:46
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(Σοφία των νεκρών)
Towards the end, heartsight blinds conscience. Mysteries survive in vain. The aimless night speaks: knowledge returning to muteness at the summit.
How serene is the sudden sorrow of the nothingness of being! A life that passes and the measure of wisdom in the serenity of sorrow.
« Je voulais seulement me moquer du monde, je veux dire de l'insaisissable nature dont je suis l'issue. Nous n’avons pas l’habitude d’en tenir compte, si nous réfléchissons, si nous parlons, mais la mort nous interrompra. Je n’aurai pas à poursuivre toujours l’asservissante recherche du vrai. Toute question restera finalement sans réponse. Et je me déroberai de telle façon que j’imposerai silence. Si d’autres reprennent la besogne, ils ne l’achèveront pas davantage et la mort comme à moi leur coupera la parole. L’être recevrait-il une autonomie plus véritable ? Il me semble, parlant ainsi, respirer l’air libre du sommet. » (Georges Bataille, Sur Nietzsche)
“A man is a soul burdened with a corpse (Άνθρωπος: μια ψυχή επιβαρημένη με ένα πτώμ).” (Epictetus)
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3. |
Sol
16:38
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“Es la ilusión de fijeza de una estrella que ya no está allí, en el libro enigmático de lo celeste, pero que ha dejado abandonada su incandescencia.” (Carlos Vásquez, Eclipse de sol)
Witness an unnamed sunset reenact obliviousness.
Every night is the one night but countless new suns it does bring. The one sun that dawns on the flower of the thinking corpse. Time in the form of a sphere.
Fertile light is shed over the sea as flames devour its newborn pulse.
Pyres of ancestors in homage of origins ignite the end of history.
Death, vanquished by the first light, returning as the blaze of a last light. The echoing silence of God in the laughter of an infant, the ageless fascination of rebellion in the eyes of youth, and this aching blood that bears the spell of time.
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Emmeleia Medellín, Colombia
Black metal act started in 2018 in Medellin, Colombia.
Emmeleia: a solemn and stately dance used in the tragedies of ancient Greek theatre.
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Life has gone on long enough
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Its deep, clear, majestic, cold and warm in one. Amazing stuff!!!
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